questcequonattendpourlire

Cette chronique vous me l’avez demandée à la majorité. Cette chronique je vous l’offre…

« Pour libérer une ombre, il faut la mettre en lumière : c’est ainsi qu’elle disparaît, mais si vous n’avez pas conscience de cette ombre alors les blocages sont difficilement libérables. »

Parce que la spiritualité est un thème à la fois très personnel mais aussi un fondement dans ma vie, je ne m’autorise que très peu à vous en faire partager. Pourtant, il est des livres comme celui-ci qui méritent d’être connu du grand public. Pour ses thématiques abordées, pour ces bienfaits sur le corps et l’esprit, et plus particulièrement sur votre âme.
La vie est un éternellement recommencement. Je suis persuadée que le contraire de la mort n’est pas la vie mais bien la naissance. Parce que notre vie renaît de notre âme. Partant de cette croyance, nous avons eu des vies antérieures et nous aurons de prochaines vies qui nous attendent. Mais parce qu’on renaît vierge de toutes mémoires, chaque événements vécus, et surtout les plus marquants voire traumatisants, sont enfouis au plus profond de nous. Et nos mémoires cellulaires peuvent ainsi se retrouver bien malgré nous bloquées. Nous malmenant tant et si bien dans cette vie que l’on aimerait vivre tranquillement. Grâce à son livre, sa méthode, ses outils et ses exercices, Stéphanie Abellan nous propose de réveiller ces mémoires et de travailler sur nos noeuds bloquants. Comment ? Sans tout vous dévoiler de la magie de ce moment qui vous attend… L’on pourrait comparer cette lecture dites méditatives à une séance d’hypnose ou de sophrologie. Une méthode douce mais efficace qui bouleversera tout vos sens intérieurs que vous le vouliez ou non. Une seule question à vous poser : êtes-vous prêts pour ce grand voyage en votre « for intérieur » ? Si la réponse est oui, vous savez ce qui vous reste à faire 😉

Pour les adeptes de spiritualité ou de développement personnel vous allez adorer. Pour les plus sceptiques, qu’avez-vous à perdre ? Pour les plus cartésiens ? C’est quitte ou double ! 

Laissez-vous bercer par le chant mélodieux de votre voix, pour une douce et agréable lecture de votre âme 😘

Et si vous voulez pousser plus loin votre chemin intérieur, rendez-vous sur la page Instagram de notre auteure Stéphanie Abellan @lesmedeoresdankaa

« Vous comprendrez la beauté de l’esprit militaire. C’est dans la guerre que l’être humain se réalise véritablement, qu’il découvre son moi profond. Le combat forge les âmes et les cœurs. Vous vous apercevrez que votre vraie famille est du côté de ceux qui partent au-devant de la mort en chantant, pas du côté de ceux qui fuient le danger comme des rats… Voilà. C’est tout pour aujourd’hui. »

Voilà qui est bien d’actualité : la guerre. Je n’aurais pu choisir meilleur moment pour me plonger au cœur de ce livre et revivre une des guerres napoléoniennes. Est-ce vraiment différent d’aujourd’hui la guerre ? Si on parle de pertes, de morts, de victimes… non la guerre n’a pas tellement changée ! Seule la technologie a évoluée, avec elle la manière d’attaquer.

Violette est veuve. Elle a perdu son mari durant la guerre. Elle doit désormais faire face à la vie, à ses besoins et à ceux de son fils, seule. C’est d’ailleurs « grâce » à sa qualité de veuve, qu’elle peut prétendre à un emploi de cantinière parmi les troupes napoléoniennes en direction de l’Espagne. Quant à son fils, Octave, il ne rêve que d’une chose : intégrer les troupes comme tambour. Mais son jeune âge l’y contraint. Mère et fils marchent ensemble aux côtés des soldats mais ne se doutent pas des défis qu’ils devront relevés !

Un livre passionnant d’Histoire. Et bien que romancé, vous revivrez aux côtés de nos personnages, aux côtés de nos troupes, les ordres de Napoléon. Un début de XIXe siècle déjà marqué par le sang. Et bien que vous serez captivés par ce qui se prépare, je pense qu’il vous manquera, tout comme moi, ce lot d’émotions qui nous transporterait vers cette époque. Comme un voyage dans le temps, que vous vivez (ou subissez) de plein fouet ; mais qui rendrait ce roman bien au-delà du captivant, soit bien plus palpitant et haletant. Ce n’est, bien évidemment, que mon avis, très subjectif, et ne remet en aucun cas la qualité d’écriture de notre auteur. Une écriture qui, d’ailleurs, se veut très détaillée, vous amenant à vous projeter au maximum dans cette ambiance napoléonienne. Peut-être trop détaillée et pas assez éprouvée ? 
Mes chères lectrices et chers lecteurs, vous me connaissez bien maintenant… et oui, si je me répète, c’est qu’il m’a manqué quelque chose pendant cette lecture. Ce petit quelque chose qui fait toute la différence pour qu’une lecture me transcende : je parle de sentiments. Attention, je ne parle pas d’une romance amoureuse. Je ne suis pas romantique au point de vivre une histoire d’amour dans chacune de mes lectures, bien au contraire !!! Je parle de sentiments qui tourmentent nos personnages. Connaître leurs pensées, leurs ressentis, ce qu’ils ont dans leur cœur, ce qui constitue leur être. C’est une lecture enrichissante, si vous êtes passionnés d’Histoire, mais pas bouleversante au point d’y laisser une empreinte dans mon coeur de lectrice.

Ayez toutefois la curiosité de savoir ce qui se cache derrière ces pages. N’oubliez pas, ce qui ne plaît pas aux uns, peut plaire aux autres 😉
Bonne lecture ! 

« Me reposer. Cette infirmière me demande de me reposer. Elle se fout de moi ! Je viens de donner la vie à un bébé que je n’ai ni vu ni embrassé. Je ne sais même pas s’il est vivant. J’en viens à me demander s’il existe ou si mon imagination me joue des tours… Mais je dois me reposer. Je me retiens de hurler à nouveau. Je n’ai plus la force. Je suis sonnée. »

Cette colère c’est celle d’une maman. Une qui va vous raconter ce qui devait être le plus beau jour de sa vie. Quand la naissance de son enfant se transforme en cauchemar, comment peut-on accueillir la vie ? Cette petite merveille que l’on porte en soi, où l’on s’est tout imaginé d’elle sauf le pire ! Cette maman, c’est notre auteure même, Héloïse des Monstiers. Qui de mieux que celle qui l’a vécu peut nous raconter les pires « joies de la maternité » ! 

C’est à six mois de grossesse que le calvaire commence. Des douleurs qui s’avèrent être des contractions. Et le travail commence. Garance née prématurément. Séparée de sa maman pour être placée en couveuse, le lien est coupé dès l’accouchement. Mais cette coupure lui est vitale. Pour autant la réponse à cette question est toujours en suspens. Personne ne peut se prononcer. Seules les heures, puis les jours, qui passent sont bons signes. Mais Garance n’a pas fini de se battre. Tout peut s’arrêter en un instant, et ses parents le savent. S’en sortira t-elle ? N’est que la question à laquelle, nous lecteurs, nous pensons ! Car il ne s’agit pas d’une histoire mais d’une vraie histoire et seule une fin heureuse ne peut être concevable.

Mes chères lectrices et chers lecteurs, vous l’aurez compris, les émotions seront de toutes parts dans ce livre. Un sujet finalement peu exploré en littérature et si familier pour toutes ces équipes médicales qui travaillent non stop pour que des enfants soient sauvés, pour que des familles soient sauvées. L’auteure nous raconte librement son histoire. En explorant ses plus noires pensées. S’adressant à chacun d’entre-nous, à toutes ces mamans qui traversent cette épreuve et à sa petite puce qui se bat au jour le jour.

Lorsque l’on souhaite devenir parent, l’on s’imagine à qui ressemblera l’enfant, à préparer sa chambre… Je ne pense qu’aucun parent n’est préparé à vivre le pire ! Que ce soit la grande prématurité comme notre auteure ou encore le handicap. Alors attention, ce livre n’est pas là pour vous faire peur. Il est là pour lever quelques tabous autour des « joies de la maternité » et sur ce qui ne vous est pas dit, même à titre informatif. La plume de l’auteure se veut sensible et accessible à tous. Un parcours d’émotions qui vous captivera jusqu’au bout des page 😉

Bonne lecture 😘

« Rien ne nous empêche de dire que le mot « connaissance » veut dire « naître avec ». On peut donc d’emblée se demander : « Transmettre quoi, puisqu’on est né avec ? ». On est né avec la connaissance. La connaissance est quelque chose que l’on a en soi, tout-à-fait au commencement de la vie. La connaissance, c’est quelque chose qui fait partie de soi. Cela ne signifie bien évidemment pas que l’on soit éveillé à cette connaissance. Cela ne signifie bien évidemment pas que l’on soit conscient de l’existence de cette connaissance. »

Êtes-vous croyants ? Pratiquants ? Ou tout simplement curieux de ce qui se passe dans le monde ?

Personnellement, c’est la troisième option qui m’a poussée à ouvrir les pages de ce livre. Bien sûr, j’ai mes propres croyances ; mais je suis assez ignorante en terme de religion et surtout d’Histoire.

Les Éditions Lazare et Capucine, vous propose de redécouvrir, à travers cette œuvre, le fondement des plus grandes religions de ce monde. 

C’est en 1980 qu’à eu lieu ce colloque d’Etudes des Civilisations, où ces quelques personnalités réunies vous délivrent à la fois leur savoir (connaissance) et leur savoir-faire (transmission). Il n’est pas question d’inciter à une quelconque façon de penser ou de faire. Mais plutôt de nous ouvrir l’esprit.
Mes chères lectrices et chers lecteurs, j’ai toujours à cœur de vous proposer divers genre de littérature. J’espère ainsi satisfaire un grand nombre d’entre-vous tout en élargissant ma propre culture. Et c’est une réussite avec ce livre !
Vous y retrouverez, pour chaque thème abordé, une partie plus théorique suivi d’un question-réponse qui vous permettra d’approfondir vos propres connaissances. N’est-ce pas d’ailleurs l’objectif recherché ? 

Attention ! Ce n’est pas un livre que vous allez lire superficiellement… Non ! C’est un livre porteur de sens à la croisée des religions et quelques soient votre religion (ou pas). Je vous conseil de lire au calme, à tête reposée ; et peut-être un dictionnaire à porté de main 😉

Merci aux Éditions Lazare et Capucine pour ce service presse. Et, à vous, chers lecteurs, je vous souhaite une bonne lecture !

« Je crois qu’avec Jeanne, j’ai vraiment été connecté à l’Amour avec un grand A, celui qui vous met à genoux. Plus rien n’existe, sauf l’autre, et cette personne a le pouvoir de poser un sourire sur vos lèvres de façon constante, tel un niais, mais un niais à sa place dans ce monde. C’est une alchimie émotionnelle et physique qui se développe et s’amplifie avec le temps. C’est tout sauf une passion éphémère… C’est, c’est… l’amour éternel, insubmersible, définitif. »

C’est doux mots qui vous prennent aux tripes sont ceux de Marcel. Qui n’a jamais rêvé de vivre un pareil sentiment ? Lui, l’a vécu ! Avec sa Jeanne. Mais, même si l’amour semble être une évidence, il peut être parfois semé d’embûches. Un amour qui commence en 1947 et qu’il raconte à Pauline, son infirmière, en cette année 2020. À quatre-vingt-quinze ans, Marcel et son sacré tempérament, dévoile tout les secrets de sa vie. C’est une belle et incroyable complicité qui va naître entre ces deux cœurs séparés par plus de quarante ans. L’amour est un sentiment intemporel. 

Quel livre puissant en émotions. Cette lecture m’a transcendée de toute part ; ne laissant ni mon coeur ni mon âme insensible à la vie de ce petit papi, qui pourrait être le mien, qui pourrait être le vôtre. Chère auteure, votre plume est d’une délicatesse exceptionnelle qui nous envoûte jusqu’au bout des pages ! 

Mes chères lectrices et chers lecteurs, sortez les mouchoirs ! Ils vous seront utiles et ce même si vous pensez avoir un coeur de pierre. Traversez le temps au fil d’un torrent d’amour inépuisable. Votre cœur s’emballera tellement à certains passages qu’il pourrait bien rater un battement ou deux. J’ai vécu un moment de lecture exceptionnelle que les mots me perdent et ces choses rares ! Comme le dit si bien le titre le « silence commence à raconter »… 
Je vous souhaite une merveilleuse lecture 😘

« Cela faisait maintenant plusieurs heures qu’ils étaient à jouer dans le parc et le soleil commençait à descendre dans le ciel, quand Mélissande se rassit sur la pelouse où ils étaient allongés pour pouvoir se sécher de la bataille d’eau. Elle regarda ses deux amis qui, eux, n’avaient toujours pas bougé, les yeux pointés vers le ciel.
- Je vais devoir y aller, soupira la jeune femme avec une pointe de tristesse dans la voix.
Elle aurait sûrement donné cher pour que ce moment dure une éternité et que le Sacrifice n’ait pas lieu mais elle ne pouvait rien y faire. »

Voilà déjà, qu’en quelques lignes, mes chers lecteurs, vous devez vous poser un grand nombres de questions sur ce livre qui vous attend ! Ewaïs ? Egaïa ? Sacrifice ? Mais dans quel monde allons nous débarquer ?

Et bien pas si loin que ça puisque l’histoire commence sur la Terre même. Une île, un peu à part, où les humains pensent vivre une vie tranquille et paisible. Mais ça, c’est avant qu’ils n’atteignent la majorité et où enfin l’Histoire de leur peuple leur est révélé. Un peuple préservé par un étrange sacrifice qui n’a, rien qu’à son nom, tout sauf de rassurant. 
Mélissande, elle, vient de décrocher son diplôme, et tout comme ses amis, elle pense bien poursuivre ses études. Mais Le Sacrifice risque bien de bouleverser son destin. Celui qu’elle mène sur Terre, auprès de son oncle.

Mes chères lectrices et chers lecteurs, je pourrais vous en dire plus. Vous dévoiler ce qui arrive à ces humains après le Sacrifice. Qui sont touchés ? Pourquoi et comment ? Y survivent-ils ? Où vont-ils ? Et encore tant de questions, qui je l’imagine, vous intrigue. Je vous répondrais alors, que si cela vous intrigue, c’est que vous devriez, vous plonger, sans nul doute au cœur de cette aventure ! Une aventure palpitante et captivante qui vous mènera jusqu’au bout des pages, jusqu’à en perdre haleine. Et c’est à bout de souffle que vous en redemanderez ! 
Et j’espère, chère auteure, que la suite est programmée pour bientôt ! Je ne contrôle plus l’impatience de mon imagination ! 
Ewaïs a, semble-t-il, encore beaucoup de choses à nous révéler !

Mes chers lecteurs, prêts à décoller pour le monde (presque) merveilleux des Ewaïs ?

Bonne lecture 😘

« Vous venez célébrer la femme, sa puissance, sa sauvagerie, son insoumission. Le programme, vous verrez, est réjouissant. Vous venez célébrer ce qui en elle est résilience, relance, alliance a tout ce dont nos sociétés s’écartent, s’éloignent, s’exilent. Vous venez célébrer, à travers la femme, le féminin, la vie-et-la-mort, les sœurs siamoises. Vous venez célébrer celle qui saigne et qui enfante. Vous venez célébrer le miracle. Le miracle du sang. »

Vous l’aurez compris, mes chers lecteurs, qu’il n’y a point de fautes d’orthographes dans ce titre ! A quoi vous attendre ? Ce fut la question que je me suis également posée et qui m’a littéralement donnée l’envie de me jeter au cœur de ce roman. 
Dans cette chronique ne vous attendez pas à ce que je vous dévoile l’intrigue qui romprait toute la suggestion liée à ce titre si énigmatique. Bien que vous aurez sûrement compris le jeu de mots, vous êtes très loin d’imaginer en revanche l’histoire qui va en découler ! 
Tout commence par une rencontre. Dans un musée. Devant un tableau. Une peinture. Un homme et une femme s’y retrouve, en discute, en débate. Une rencontre qui bouleversera en profondeur le cœur de cet homme. Il voyagera. A la rencontre de cette inconnue. A la rencontre de son moi profond. Sa vision de La femme pourrait bien être chamboulée au plus profond de son être. 

Il fallait oser, pour un homme, d’écrire sur ce qui touche de plus féminin et de plus intime à la femme. En décrire au plus près et avec les mots les plus justes de ses chamboulements internes. Bien que, parfois, le langage soit direct, voire cru, les sentiments sont d’une conforme authenticité. De ce que peuvent vivre et comprendre uniquement le sexe féminin ; notre auteur, Jean-Philippe De Tonnac, en dépeint un tableau fidèle. Avez-vous été une femme dans une autre vie ? 
Mes chères lectrices et chers lecteurs, que vous soyez hommes ou femmes, vous pouvez tous vous sentir concernés. Une écriture romanesque sur fond de débat féministe, j’adhère ! Une histoire qui nous balade au fils des événements et des pensées de notre personnage qui nous amène, nous lecteurs, à notre propre réflexion.
Un récit unique. Une plume subtile. Une lecture incroyablement intense. Laissez-vous guider et ; voyagez, méditez et pénétrez votre côté Yin 😉

Bonne lecture ! 

« On dit qu’il vaut mieux ressentir des remords que des regrets, dans la vie. Je ne suis pas sûre d’être d’accord avec ça. Quel est le boulet le plus lourd à traîner : les remords d’avoir fait quelque chose de merveilleux, mais contre nature ou les regrets de ne pas l’avoir fait ? »

Voilà une citation qui vous mets, oui vous lecteurs, dans l’ambiance de cette lecture qui vous attend. Oui ! Elle vous attend ! Croyez-moi, à la fin de cette chronique vous aurez envie de vous plonger au cœur de ce récit qui bouleversera vos émotions !

Entre Marcelle et Benjamin c’est le choque des générations ! L’un est un jeune musicien torturé par le chemin de vie qu’il a décidé d’emprunter et ; l’autre, est une vieille dame au précipice de la mort. 

Alors que Marcelle est hospitalisée aux soins intensifs et qu’elle ne daigne parler aux personnels soignants ; Benjamin, et contre toute attente, venu proposer de divertir les patients au gré de sa guitare, lèvera le voile du son de la voix de la vieille dame. La musique, entre eux, créera un lien aussi unique que magique, qui liera ces deux âmes en mal de vie d’une façon si profonde que l’impatience de chaque retrouvailles naîtra dans le cœur de chacun. Mais les jours de Marcelle sont comptés ! Et, ils ne peuvent ni nier, ni passer sous silence, l’inévitable qui se produira prochainement. C’est un bonheur de tout instant qu’ils saisiront, des secrets qu’ils partageront… Les rencontres peuvent être courtes, mais les sentiments si intenses, qu’ils marqueront à tout jamais une vie, un coeur ou une âme ! 

Mes chères lectrices et chers lecteurs, si vous ne l’avez pas encore compris à travers ces mots, c’est une lecture qui m’a émue, touchée et déstabilisée au plus profond de mon être. Sûrement parce que je connais ces sentiments. Se sentir heureux, chanceux et triste à la fois. Peut-être les avez-vous déjà connus, ressentis ou partagés avec un proche. Comment rester de marbre face à une situation à laquelle chacun d’entre-nous traversera un jour, je vous le demande ? 
Wendy Baqué, ce n’est pas votre premier roman, et chacun de ceux que j’ai lu m’ont captivée et transportée, mais je dois vous l’avouer, celui-ci m’a littéralement frappée en plein cœur ! Au-delà de votre magnifique plume, j’ai ressenti votre âme d’auteure. J’ai été bouleversée par tant d’émotions à la fois ! Complètement impliquée dans le récit, je me sentais si proche des personnages. Comme une figure fantomatique assistant à chacun des événements que vivaient Marcelle et Benjamin. Me baladant au gré des lieux, des pensées et des sentiments de nos héros. Héros de récit mais héros de coeur aussi. Mes chers lecteurs, lorsque vous ouvrirez la première page de ce roman, vous serez pris par l’envie irrésistible de poursuivre intensément cette lecture et cette peur panique que tout s’arrête ! Et ce sont sur c’est quelques mots, qui je l’espère vous charmeront, que je terminerais cette chronique qui m’a parue aussi intense que ma lecture.

Je vous souhaite une merveilleuse lecture. N’oubliez pas à quel point la vie est importante et que vous devez la vivre comme vous l’entendez 😉 Soyez heureux, il n’y a rien au monde de plus vrai et de plus essentiel 😘

« Et je m’étais habitué au nom conçu par Vandoven, comme on peut s’habituer à porter chaque jour un même modèle de chemise, m’accommodant de son utilité. Mais à la perspective d’être ainsi lâché dans l’arène télévisuelle, je le sentais pour la première fois se greffer sur moi comme une peau, m’intimant une certitude : j’étais, j’allais être plus que jamais et resterais jusqu’à ma mort, Alexandre Mauvalant. »

Voilà comment est né le grand auteur Alexandre Mauvalant. Un auteur de nouvelles, de poèmes ; connu et reconnu, toujours sous la pression de son éditeur qui en veut toujours plus et toujours mieux ! Un éditeur qui aimerait bien de lui Le roman ! Mais voilà, Alexandre est en manque ou peut-être en panne d’inspiration. Que pourrait-il bien écrire qui satisfasse autant son éditeur que sa propre plume. 
Alors qu’il reçoit de nombreux courriers de fans, il y en a un qui retient particulièrement son attention. La dame qui lui écrit lui propose de la rencontrer dans son île des Caraïbes. Des mots qui sonnent et résonnent en lui comme un challenge : « vagabondez, voyagez, venez ».

Alexandre prendra alors un tournant dans sa vie. Peut-être celui qui le changera… peu importe le temps que cela prendra, Alexandre retrouvera la destinataire de son courrier. Et ce n’est qu’en passant par les terres et les mers qu’il aboutira à son voyage. C’était sa décision. Un challenge qui ravie son éditeur, prêt à tout pour qu’il lui ponde son Roman ! 
Mais ce parcours difficile qu’Alexandre s’apprête à mener ne sera pas de tout repos ! Relèvera t-il ce challenge jusqu’au bout ?

Voici un livre aussi magnifique que surprenant. Et des surprises il y en aura ! Autant pour notre personnage que pour nous, lecteurs. J’aime ce genre de lecture où nous sommes plongés dans les pensées torturées de notre personnage. L’on se sent presque normal ! Mes chères lectrices et chers lecteurs, vous suivrez une aventure, certes, extraordinaire ; mais le personnage d’Alexandre est tout ce qu’il y a d’ordinaire. Et c’est un compliment ! Sa vie, ses pensées, ses choix… sont ceux que tout un chacun peut rencontrer dans sa vie. J’appelle ce genre de récit des « lectures terre à terre » parce qu’elles s’inspirent d’un personnage aux prises des tourments de la réalité. Et ça, nous le sommes tous et tous les jours ! 
Merci Babelio pour ce service presse que j’ai obtenu grâce aux Masses Critiques que vous proposez. Ce livre est une belle découverte !
Et à vous, mes chers lecteurs, je vous souhaite un bon voyage. Ne vous y trompez pas ! La destination n’est pas toujours le plus important mais les chemins que l’on prend, eux si ! Bonne lecture 😘

« Nous sommes une famille d’idéalistes. Chaque fois que la réalité se met en travers de notre chemin, l’insatisfaction et la discorde s’annoncent. J’ai résolu ce problème en laissant de côté la procréation pour m’investir dans la création afin de ne pas être déçue. Quoi de mieux que de modifier ce qui nous déplaît lorsqu’il s’agit de lignes, de mouvements ou de mots ? Mais lorsqu’il est question de personnes, alors là, c’est une autre affaire. Le tressage du lien affectif s’apprend dès l’enfance et ce n’est pas donné à tout le monde d’être doué à cet exercice. »

Quel livre prenant ! Émouvant ! Captivant ! Et tellement authentique ! Pour cette deuxième autobiographie, l’auteure nous plonge dans ses souvenirs d’enfance avec l’œil avisé de celui de l’adulte qu’elle est devenue. Quel beau mélange ! Et quelle belle réussite !
Elle nous dévoile ses recherches, ses secrets de famille mais aussi son intimité. Anne-Marie Bougret touche à des sujets sur lesquels tout lecteurs peut se sentir concernés. Une belle plume pour un si joli récit que vous vous surprendrez à dévorer. Découvrez une auteure, non pas dans son imaginaire, mais telle qu’elle est au plus profond de son être. 
Mes chères lectrices et chers lecteurs, soyez prêts à voyager de souvenirs en souvenirs, de villes en villes, de personnes en personnes… vous serez également surpris sur l’empreinte même qu’un souvenir peut laisser en mémoire. Et il se pourrait bien qu’un même souvenir ne laisse pas la même trace sur les personnes qui le partage ! Avez-vous déjà eu cette impression ? 

Les mots d’Anne-Marie Bougret retracent à merveille l’histoire d’une famille qui pourrait bien être la vôtre… tout simplement parce que ses mots et son histoire résonnent en nous.

Je vous souhaite une agréable lecture… 😘