questcequonattendpourlire

« Stessie pense que sa maman ne va pas bien du tout, elle sait que c’est à cause de la mort de son papa. Comme dirait Nicole, sa nounou, « elle change d’avis comme de chemise ». Un coup, on va voir tata Harriet, l’instant d’après elle ne veut plus. Ces temps-ci, sa mère est vraiment bizarre. Stessie a parfois de la peine à comprendre les adultes… »

Et pour cause ! Cette petite fille vient de perdre son père et pour une raison inconnue la voilà obligée de quitter son environnement précipitamment. Seulement, les circonstances les amènent, elle et sa maman, à fuir le plus loin et le plus vite possible ! Un terrible complot semble se dessiner autour d’elles…

Mes chères lectrices et chers lecteurs, souvenez-vous… Dans ma dernière chronique, je vous présentait « L’invitation » de cette même auteure. Un préquel qui nous ouvrait l’intrigue sur ce nouveau roman d’Anne-Marie Bougret. Un thriller haletant qui commence par un bal masqué où la mort semble inévitable. Un étrange rêve qui est en proie à devenir réalité. Des morts successives qui ne laissent plus doute à la coïncidence. Un dossier maintenu secret mêlant des hommes politiques est sur le point d’exploser. Plus l’énigme se dévoile plus la fuite est nécessaire, plus la mort se rapproche. Nos personnages arriveront-ils à en échapper ? L’affaire sera-t-elle dévoilée ? Une course-poursuite a n’en plus finir… À qui peut-on faire confiance ? 
Un tout nouvel univers littéraire pour ceux qui connaissent la plume de notre chère auteure. Anne-Marie Bougret, je vous suis depuis votre tout premier roman et je dois vous dire ma surprise à vous retrouver dans un thriller ! Une belle surprise pour un thriller réussi qui nous maintient jusqu’au bout des pages et que l’on dévore à en perdre la notion du temps. Il ne m’a pas fallu longtemps pour finir ce roman tellement j’étais aux prises de ce récit captivant et entraînant ! À vous, mes chers lecteurs, qui aimez les scénarios où l’action vous coupe le souffle ; je vous invite à ouvrir ce dossier contenant les pages d’une affaire explosive… 
Bonne lecture ! 

« Ce matin, un architecte du nom de John Stephen vient d’être retrouvé dans un motel en compagnie de Lydie Nafair, ex-mannequin, décédée d’une overdose. Il a été constaté également que monsieur Stephen avait lui-même ingéré de la drogue. En attendant d’en savoir un peu plus, la police le place en garde à vue… »

Un communiqué de presse vient d’être lancé ! Stephen semble vivre un cauchemar dont il peine à se réveiller. Et Vanessa, sa compagne, est complètement déboussolée par cette annonce. Qu’a-t-il bien pu se passer entre cette soirée masquée et ce lendemain où le trou noir subsiste ?! 
Tout a commencé par une invitation. Tel un bal masqué, Stephen et Vanessa étaient attendus pour cet événement à ne surtout pas manquer. Et rien ne s’est passé comme prévu. Depuis la réservation des tenues jusqu’au soir même de cette soirée. Tout était étrange. Trop étrange pour être réel… 

Une histoire. Un lancement. Un préquel qui vous ouvrira sur un cinquième roman très attendu de notre auteure Anne-Marie Bougret. Une nouvelle à ne surtout pas manquer vous l’aurez compris ! Je suis une très grande fan de la plume de cette auteure. J’y ai lu et dévoré toutes ses œuvres. Son dernier roman paraîtra le 22 juin 2022. Il est déjà en précommande. Et comme je suis impatiente, je me devais de parcourir cette petite nouvelle qui nous donne déjà le tempo de ce qui nous attend très prochainement. Quelques pages qui m’ont suffit à me maintenir en haleine… J’étais déjà très captivée par cette première de couverture qui m’a littéralement transportée dans une autre époque. Le temps d’une soirée, tenue exigée, tout peut arriver ! 
Mes chères lectrices et chers lecteurs, recevez cette première invitation. Entrez dans un univers singulier. Ce bal masqué regorge de secrets… des secrets qui vous seront tout juste dévoilés… 
Je vous souhaite avant tout une bonne soirée  😉

« Les natifs de la région vendirent leurs biens et prirent la route de l’exode. Leurs petites baraques laissèrent place aux villas géantes. 
Tout cela n’aurait pas été possible sans Brigitte Bardot. On dit que c’est elle qui créa tout, comme Venus, déesse de l’amour et de la beauté. C’est son visage a elle qui est partout dans le centre-ville : sur les photos de paparazzi en noir et blanc, accrochées aux murs médiévaux, et sur les peintures bariolées, imitant le style d’Andy Warhol, dans les vitrines des galeries d’art locales. »

Saint-Tropez, célèbre Saint-Tropez ! Son port, ses plages mythiques, ses villas de luxes, son étoffes cinématographiques… Hier comme aujourd’hui, la ville de Saint-Tropez a toujours su faire parler d’elle. Touristique en pleine saison, n’y habite pas qui veut le reste de l’année. 
C’est autour de cette image de carte postale que notre lecture nous guide au fil des pages tels un scénario de cinéma animé de sa bande son.
Cécile et Christelle n’ont en commun que la première lettre de leur prénom. Elles ne se connaissent pas, ni de près ni de loin. Seul un carnet de note les lie d’une étrange façon. Un carnet retrouvé par Christelle, appartenant à Cécile et qui va bouleverser très soudainement ses plans : direction Saint-Tropez dans la peau d’une étrangère. Et c’est une « drôle » d’aventure qui est sur le point de commencer…

Un destin presque commun à deux inconnues ! Une aventure littéraire qui n’a rien de mathématique mais qui va s’avérer  très hypothétique. Rien au fil des pages de nous présage d’un dénouement quelconque. Nous sommes, nous lecteurs, pris au gré de cette histoire si peu ordinaire entre le houlement des vagues de cette mer bleue turquoise et la tramontane aux prises des collines de la ville. Une écriture sublime dictée par une plume d’une émotion captivante. Nous suivons nos personnages loin des yeux mais près de leur cœur. Une étrange sensation qui nous pousse à chaque page à tourner la suivante pour comprendre ce mystère où nous emporte l’auteure. Des mots qui nous touchent. Un récit qui nous détient. Un roman très réussit qui m’aura séduit du début à la fin. 
Mes chères lectrices et chers lecteurs, évadez-vous sous le soleil de Saint-Tropez ; le temps d’un instant, le temps d’une balade, le temps d’une lecture… Que vous soyez un touriste parmi tant d’autres, un inconditionnel de la ville ou un simple spectateur ; vous serez émerveillés par ce paysage qui s’animera sous vos yeux de lecteurs !

« Je me rendais compte qu’en amour on finissait toujours par avoir le cœur brisé. Le bonheur était une quête. On avait l’impression de le trouver quand l’amour venait frapper à la porte de notre cœur, par contre, quand l’être aimé s’en allait, tout s’assombrissait, même les arcs-en-ciel semblaient gris. »

Direction les Antilles ! Plus précisément l’archipel de la Guadeloupe. Alors que beaucoup rêve de cette île paradisiaque, Stéphane lui rêve de Paris. Il le sait un jour il ira… Mais pour le moment il doit s’adapter à de nouvelles conditions. Car la séparation de ses parents implique un déménagement. Le voilà bousculé dans ses habitudes en se retrouvant dans un logement plus que modeste ; sans eau et sans électricité. Mais comme le dit si bien sa mère : le plus important c’est d’être ensemble en bonne santé.
L’école est une échappatoire pour Stéphane. Mais reste, malgré lui, la honte de ne pas être comme les autres. 

Une histoire de vie comme je les aime. Une histoire où l’on peut s’identifier de part, un parcours de vie ancré dans la réalité, et les sentiments d’un enfant qui grandit. Un enfant que l’on a été ou qu’on aurait pu être. À vous qui me suivez depuis longtemps maintenant, vous savez à quel point ce genre de littérature me touche car elle nous plonge malgré nous dans un quotidien que tout un chacun connaît si bien. Un quotidien si peu linéaire tant la vie est semée d’embûches. N’est-ce pas ? Vous vous reconnaissez aussi ? Un récit pleins d’émotions, pleins d’espoirs et d’ambitions. Un enfant rêveur qui quelques soient les circonstances n’abandonnera jamais ses rêves. Pour le meilleur et pour le pire, il se forgera, dépassera ses limites pour atteindre ses objectifs.
Mes chères lectrices et chers lecteurs, c’est un livre emplit de bon sens, de mots touchants, de situations bouleversantes qui vous attend. Pages après pages vous serez captivés par cette vie à la fois si fragile et combative. Ne manquez surtout pas ce voyage au cœur des sentiments. Je vous souhaite une merveilleuse lecture…

« Bon sang, pas étonnant que les histoires de femmes restent toujours ignorées de tous. Tout ce qui sort de l’ordinaire est taxé d’être des inventions ou le fruit d’une trop grande imagination. Comme s’il ne venait pas à l’idée de personne que les femmes puissent être aussi capables que les hommes, plus douées même, dans bien des situations, parce qu’on n’a pas à tenir notre rang en tant qu’homme, avec tout ce que ça implique. »

En voilà un livre qui me semblait être prometteur. Déjà de part sa quatrième de couverture. Puis, ensuite par sa préface nous annonçant une adaptation télévisée en série. Une annonce excitante qui nous laisse, nous lecteurs, rêveurs d’un roman exceptionnel. Tel était mon état d’esprit avant même les premières pages. 

XIXe siècle aux États-Unis. Un gang de femmes braqueuses de banques. Décor typique de Far West. L’on s’attend à de l’action. Des tirs. Du sang. Des morts. 
Tout cela, vous l’aurez, mes chers lecteurs, à l’exception de l’action que vous pouvez d’ores et déjà oublier ! Car l’écriture de ce roman s’annonce bien différente d’un tel scénario. Entre journal intime et faits divers, les récits seront d’une lenteurs qui rompront tout le charme qu’aurait pu avoir cette histoire. Je m’étais fait une idée si haute de ce roman que j’en ai été vite déçu au point d’en arrêter ma lecture. Et croyez-moi, vous qui me suivez, cela est chose rare en ce qui me concerne. J’ai toujours pour objectif d’aller au bout des choses, c’est mon tempérament. Mais cette longueur entêtante m’a plongée dans une atmosphère soporifique malgré moi. Peut-être aimerez-vous, à contrario, ce genre de littérature ? Mais je me dois d’être honnête avec vous, cela n’a bien évidemment pas été mon cas. Moi qui adore les romans historiques celui-ci m’a contrariée au plus au point me laissant avec un goût amèrement inconsolable. Doublement inconsolable ! Je n’ai pas apprécié le livre qui était entre mes mains et, en plus, je n’ai pu le finir ! Je me sens comme un « imposteur » qui vous présente une chronique d’un livre dont je n’ai même pas lu la moitié de ce qu’il en est. Ne vous méprenez pas ! Je ne le suis pas. J’aurais seulement préféré pouvoir vous en dévoiler un peu plus. Tel est mon devoir. Mais je reste avant tout une personne humaine aux prises de ses émotions et surtout entière à vous parler avec honnêteté ! Alors pas si imposteur que ça la chroniqueuse 😉
Mes chères lectrices et chers lecteurs, à vous de vous faire votre propre opinion. Je n’aurais jamais de cesse de le répéter : les goûts et les couleurs ne se discutent pas…
Bonne lecture !

Il est des surprises dans la vie que l’on ne peut absolument pas prévoir ni même imaginer. Lorsque j’ai emménagé dans ma petite campagne, je ne pensais pas faire d’aussi fabuleuses rencontres comme celle de mon voisin. Un voisin aux milles vies. Milles vies, milles rencontres… C’est grâce à lui que je peux, aujourd’hui, vous présenter cette chronique d’un livre exceptionnel, d’une auteure exceptionnelle. Une auteure qui n’est autre qu’une de ses plus proches et plus vieilles amies. Le hasard fait bien les choses me direz-vous. Sauf que je ne crois pas au hasard. Le destin avait prévu de mettre sur mon chemin ces deux fabuleuses personnes. Je suis tellement honorer de vous faire partager cette histoire qui est la mienne et qui est la leur. A travers cette chronique, je continue celle de notre auteure et peut-être la vôtre…

« Cette main que tu serrais si fort la nuit dans tes rêves, tes peurs et tes torpeurs ; cette main que tu cherchais avidement quand ton coeur s’ouvrait enfin. Pourquoi l’as-tu lâchée mon Ange ? Nous avions un accord. J’avais une alliance. Qu’en as-tu fait ? »

Avez-vous déjà aimé à en perdre la raison ? Un amour si déchirant que l’esprit s’en trouve troublé par une irraisonnable et même idée… se venger. Alors que chaque socle du couple se discute, chaque organes vitaux s’en trouvent déstabilisés. Alors que chaque socle sont déracinés, chaque organes s’en trouvent successivement arrachés. Est-ce une folie meurtrière d’une femme blessée par amour ? Ou le rêve gore d’une conscience trop réprimée ? Seule le dénouement clarifiera tout nos doutes. L’un comme l’autre, il est évident que l’esprit peut basculer dans de noires profondeurs quand le coeur ne peut plus subir la souffrance qu’on lui impose. Une lecture sombre qui nous ouvre sur l’âme d’une écriture torturée. Une plume qui malmène son personnage avec tellement de délicatesse que s’en est presque perturbant ; et pourtant ce récit nous embarque malgré nous jusqu’au bout des pages en un seul souffle tant il est réussi. Âmes sensibles s’abstenir. Des envies de meurtres pourraient être commis. Attention où vous mettez vos pieds. Le retour pourrait bien être cinglant…
Mes chères lectrices et chers lecteurs, c’est une lecture avide de sens et d’émotions qui vous attend. Laissez-vous porter par cette écriture aussi effroyable qu’éblouissante. Vous ne verrez pas le temps passer sous la plume de Corine Blue-Bosselet. Bonne lecture.

« Ils n’exigeaient rien l’un de l’autre. Ils s’utilisaient. Avec beaucoup de plaisir. Celui de Mado était peut-être direct, brut, sans fioritures, sans états d’âmes et celui de Gus violent, lancinant, douloureux, mais ils se rejoignaient dans une volonté purement égoïste et dans la pleine conscience de ne rien accommoder de sacré, de ne rien tricoter de durable. »

Mado et Gus n’étaient pas prédestinés à se rencontrer, à partager une histoire d’amour, une vie. Seul le plaisir de la chair les a réuni. Mado, jeune fille de seize ans, à la découverte de son moi. Et Gus, son aîné qui ne cherche que des aventures.
Seulement voilà, après quelques ébats et quelques débats, ils sont contraints à se marier par la fatalité d’une grossesse imprévue. 
Dans cette période d’avant guerre, les mœurs sont différentes. La place des femmes dans cette société est encore à faire. Pour cette Mado qui rêve d’indépendance, la vie qui se dessine devant elle la laisse si mélancolique que son avenir se veut incertain. La guerre dont ils doivent faire face n’arrangera en rien les choses. Et la reconstruction ne se tissera pas…

« L’impromise », deuxième roman pour Angélique Maurin. J’avais tellement hâte de le lire tant j’ai été bouleversée par le premier. Alors non, il ne s’agit pas d’une suite. Mais la plume de notre auteure est si sensible, délicate et captivante qu’il était pour moi indispensable de me plonger au cœur des pages de ce livre. Et quelle belle découverte. Angélique Maurin à cette faculté de nous transmettre des émotions si particulières liées à un personnage torturé intérieurement, dont seul les mots ne suffisent pas et pourtant ; la magie de son écriture nous emporte dans les profondeurs de son héroïne. Un sentiment paradoxal certes, mais qui résonnera en vous, mes chers lecteurs si l’envie vous prend de vous laisser charmer par ce roman. Vous pourrez très bien vous attacher malgré tout à ces personnages tantôt attirants tantôt exaspérants. La beauté de ce livre ne réside pas dans ses personnages mais bien dans la plume exceptionnelle de notre auteure à nous dévoiler un monde en noir et blanc de sentiments.
Mes chères lectrices et chers lecteurs, je vous souhaite une belle lecture, entre les âmes de nos amants.

« C’est donc en toute discrétion que j’ose aujourd’hui m’aventurer sur ces terres incandescentes. En descendant sur la pointe des pieds l’escalier en colimaçon du Philosophe… Bien souvent oublié des grandes monographies consacrées à l’artiste, ce petit tableau me bouleverse depuis toujours. Dans la figure du vieux sage assis sous l’escalier, je vois aussi Rembrandt âgé, comme si le jeune artiste de 1632 avait peint, inconsciemment, un premier autoportrait de vieillesse, comme s’il avait peint demain. »

Aimez-vous l’histoire de l’art ? Ou en êtes-vous curieux ? De son nom, Rembrandt, aussi connu que ses peintures, mes connaissances s’arrêtent là… qu’à t-il peint ? Qu’à t-il fait de sa vie ? Qui est-il tout simplement ? Je ne pouvait répondre à aucune de ces questions anodines pour un peintre aussi célèbre que son nom. Lorsque les Éditions Lazare et Capucine m’ont proposé ce service presse, j’y ai vu l’occasion d’élargir ma propre culture. 

C’est en plein confinement, que notre auteure, Barbara Lecompte, conférencière en Histoire de l’art, se met à écrire sur ce peintre. Telle une passion dévorante et surtout fascinante pour ce tableau Philosophe qui engage, rien qu’à son nom, un chemin de réflexions.
Nous découvrons que ce tableau a fasciné bien des personnalités à travers les âges et les époques. Et qu’il fascinera encore.
Mes chères lectrices et chers lecteurs, laissez-vous transporter par les mots qui vous dévoileront toute la beauté de cette peinture et tout les mystères qui l’entourent. Plongez-vous dans cette ambiance artistique où le choix des couleurs, les traits du pinceau…vous parleront. Il n’y a pas toujours besoin de mots pour exprimer des ressentis, l’imagination fait son travail des yeux jusqu’au cœur.
Rembrandt serait-il un artiste en avance sur son époque ? On serait tenté de le croire… À vous de vous faire votre propre réflexion. Vous serez ravie d’en apprendre aussi sur sa vie personnelle, ce qui l’a conduit sur ce chemin artistique et sa place en son temps et tout au long des siècles…

Une lecture hors du commun, à ne surtout pas manquer !
Je vous souhaite une très bonne lecture 😉

« Marcus Tiberius Alexander se situait aux antipodes de Lucius, le véritable fils du pauvre Cornelius. L’un était dans une quête effrénée de la jouissance, comme le Calliclès de Platon, quand l’autre recherchait la tempérance, et l’utilité publique. A la mort de Cornelius, Marcus avait même refusé d’hériter, en échange, paraît-il, de la vie de quelques esclaves. Il se satisfaisait de sa place, vigile en charge de la sécurité de Rome. Lucius s’était alors retrouvé à la tête d’une immense fortune (…). Ce petit débauché dilapidait maintenant tout son patrimoine pour amuser le rouquin et sa folie des grandeurs ! »

Vous êtes-vous déjà demandé comment pouvait être la vie durant cette ère ? Cette Rome Antique si puissante qui a conquis tellement de territoires ? Une force si puissante mais qui cache de nombreux vices… Et notre personnage principal, Marcus, va nous plonger dans les noires profondeurs d’un règne de débauches. Découvrez avec lui l’autre visage de Rome…

Contrairement à son frère, Marcus est un homme humble. La puissance, la fortune et le pouvoir ne l’intéressent guère. Seules les préoccupations du peuple sont sa priorité. Marcus est marqué par son passé douloureux. Une souffrance que son frère ne connaîtra jamais. Des frères oui, mais pas légitimes ! Marcus se battra pour ses enfants prostitués de force. Et il ne pourra compter que sur sa seule volonté ! Y arrivera-t-il ? Quand des signes annonciateurs d’un mauvais présage planent sur Rome ? Quand des secrets longtemps cachés referont surface ? 
Une enquête, certes fictive, mais qui nous entraîne malgré nous dans les flammes de l’enfer qu’est Rome. Fictive mais à la fois contextuelle. 
Mes chères lectrices et chers lecteurs, j’ai été subjuguée par cette lecture. Je m’attendais, et faussement interprété par le titre, à des combats entre gladiateurs, à un Jules César omniprésent, à des arènes de spectateurs… Mais ce livre en est tout autre ! Une très belle surprise qui nous emporte dans des faits historiques peu dévoilés. Des faits qui font toujours échos à notre époque. A-t-on vraiment compris les erreurs du passé ? Où la nature humaine peut-elle être toujours cruelle malgré les époques ? Si vous aimez vous replonger dans l’Histoire, si vous aimez les enquête, ce livre devrait vous plaire. Notre auteure a cette faculté d’emporter sa plume dans cette époque latine qui nous plonge à notre tour dans cette dimension inconnue qui nous fascine ! Je vous souhaite une bonne lecture… prenez garde au fauve 😉

« Je m’appelle Thomas Morelli et j’ai eu la grande idée de venir travailler à Paris. Comme des milliers d’autres, j’ai été attiré par la Ville Lumière comme les moustiques sous un abat-jour. J’ai bien failli finir en purée sur la chaussée, mais au final je ne m’en suis pas trop mal tiré. Le petit poisson a réussi à passer à travers les mailles du filet. Et dites-vous bien que c’est moi qui écrirai le scénario de ma vie. »

Thomas est un jeune homme mal dans sa peau… Il occupe un poste qui ne lui plaît pas. Il est l’aîné d’un frère que tout oppose. Et son physique lui vaut des remarques désobligeantes constamment.
C’est sur le toit d’un immeuble, où la pire des idées lui traverse l’esprit, que sortie presque de nulle part, intervient Jessica. Cette jeune artiste au look tout aussi unique que son franc parlé. Sans le savoir, elle lui évite le pire. Pour autant, Thomas est toujours pessimiste sur sa vie. Ses ambitions sont mises au placard depuis bien longtemps… Jessica va réveiller en lui, ou plutôt secouer ce qui reste de lui, pour le pousser hors de sa zone de confort. « Les oiseaux de nuit » est né…

Une très jolie histoire autour d’un personnage torturé par la vie qu’il a décidé mener. Piégé par des idées noires dont il peine à en sortir. Qui n’a pas déjà, dans sa vie, traversé des périodes sombres ? Moi la première. Et vous, chers lecteurs, tout comme moi, nous pouvons nous reconnaître à travers le personnage de Thomas. Une histoire touchante qui se lit jusqu’au bout des pages. J’aurais toutefois aimé en être bouleversée au point de la dévorer. Voilà ce qui manquera à ce récit pour qu’il retienne toute mon attention. Cette petite touche d’émotions supplémentaire qui aurait pu rythmer davantage le récit. Comme le tempo d’une musique ; les sentiments, les émotions, les ressentis ont une grande importance pour nous faire immerger, nous lecteurs, au-delà du simple décor qui illustre la vie des protagonistes. J’aime plonger au plus profond de leur être, de leur âme. Explorer leurs plus noirs secrets comme leurs plus intenses joies. Un rebondissement qui arrivera aux dernières pages mais qui fera quelques peu traîner en longueur ce début de lecture ; en espérant qu’une chute ait bien lieu. 
Mes chères lectrices et chers lecteurs, c’est toujours avec sincérité que je vous dévoile mes chroniques. Celle-ci est assez mitigée. Partagée entre une histoire accrocheuse et un récit quelque peu déconstruit. À vous de faire votre propre avis 😉
En vous souhaitant une bonne lecture !